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Description:
du 14 au 24 mars
Quai Fran?ois-Mauriac75706 Paris Cedex 13M° Bibliothèque Fran?ois-MitterrandFrancePhone : +33 (0)1 53 79 59 59Internet Site :
Description:
Bibliothèque Nationale de France - site Fran?ois-Mitterrand - Galerie Fran?ois 1er
9 octobre 2007 > 13 avril 2008
mardi-samedi de 10h à 19h, dimanche de 13h à 19h, fermé lundi et jours fériés
entrée 5EUR / tarif réduit 3,5EUR
Un personnage, un acte, une mémoire. Immenses, ardents, combatifs, les héros, depuis l'Antiquité et jusqu'à aujourd'hui, vivent essentiellement dans l'imaginaire des peuples. Modèles pour l'avenir mais aussi miroirs de notre passé, ils ont, au cours des siècles, changé d'étoffe et de valeurs, tout en subissant la concurrence du sage, du saint, du grand homme ou de la star.
L'exposition Héros, d'Achille à Zidane propose un parcours dans l'imaginaire occidental.
Qu'y a-t-il de commun entre Superman, l'homme d'acier et Roland, le preux médiéval ? Entre le résistant Jean Moulin et Achille, légendaire combattant de la guerre de Troie ? Rien, sinon une volonté, un engagement physique total,
une action à la fois violente et miraculeuse, destinée à sauver une communauté en péril. L'héro?sation, par la publicité d'exploits réels ou fictifs, est néanmoins nécessaire. Elle isole les héros, les grandit, puis nourrit le culte dont ils sont l'objet, et fait résonner – plus ou moins longtemps – leurs noms dans les mémoires.
Comme le rappelle André Malraux :<> (L'Espoir, 1937). Ainsi tout héros est-il le produit d'un discours : c'est en suivant ce fil rouge que l'exposition explore l'imaginaire occidental. Le terme de héros est aujourd'hui galvaudé et polysémique et les héros sont multiples : certains sont uniques et vénérés secrètement, d'autres sont célèbres et connus de tous, et leurs noms s'inscrivent dans des panthéons parfois fugaces. Si le poète construisait les héros anciens, l'historien les démocratise afin qu'ils incarnent toute la nation, avant que les professionnels des médias (journalistes, cinéastes, publicistes, créateurs de jeux) ne mondialisent aujourd'hui des personnages devenus composites.
Les figures choisies illustrent la fabrique héro?que, son cheminement, ses vecteurs, ses éclipses et ses invariants. Achille, Héraclès, Thésée, saint Martin, Roland, Lancelot, Condé, Napoléon, Vercingétorix, Jeanne d'Arc, Jean Moulin, De Gaulle, Lucie Aubrac,
Che Guevara, Jimi Hendrix, James Bond, Superman, Zidane, voici quelques êtres exceptionnels magnifiés par la parole, le texte et l'image.
Les collections de la BnF permettent d'illustrer les différents vecteurs d'héro?sation et la variété de leurs supports : vases antiques, sculptures, monnaies, manuscrits, incunables, livres, estampes, jeux de cartes, imagerie populaire, photographies, affiches, presse, musique, films, objets dérivés, jeux vidéo, etc. Ouverte avec la figure de Gilgamesh, roi-héros de la première épopée connue, l'exposition comprend trois parties : la première consacrée au héros aristocratique, produit de la culture occidentale des élites, de l'Antiquité au siècle des Lumiè la seconde au héros national et à sa construction en France à partir de la Révolution et jusqu'à la Libé la dernière à l'éclatement, depuis 1945, du modèle en neuf familles héro?ques dans un univers mondialisé.
Des pièces prestigieuses ou étonnantes
Parmi les pièces les plus prestigieuses ou étonnantes, le visiteur pourra admirer, au sein du parcours : deux amphores en céramique attique à figures noires montrant, l'une le combat d'Héraclès contre Géryon, la seconde celui de Thésée terrassant le Minotaure, un médaillon d'or (nikètèrion) du Trésor de Tarse, frappé de la tête d'Héraclès coiffée de la léonté, avec les traits d'Alexandre le Grand, un lécythe avec Achille tra?nant le corps d'Hector (musée du Louvre), des manuscrits médiévaux enluminés (Chroniques fran?aises, Renaut de Montauban, Lancelot du Lac), dont un manuscrit persan sur la vie légendaire d'Eskandar (Alexandre).
Un incunable sur vélin de 1496 est consacré à La Vie et Miracles de Mgr sainct Martin.
Deux monumentales gravures des Batailles d'Alexandre d'après les tableaux de Charles Le Brun célèbrent la gloire de Louis XIV, la pompe funèbre du Grand Condé.
Parmi les pièces remarquables de l'exposition figurent aussi des dessins de Jacques-Louis David, des estampes et gazettes révolutionnaires (Serment du Jeu de Paume, Mort de Bara, Passage du pont d'Arcole), un manuscrit autographe du texte de l'Hymne des Marseillois par Rouget de Lisle, une scène légendaire de Napoléon saluant un grognard reproduite en papier peint, des caricatures, le Retour de Russie de Géricault,
des planches des Désastres de la guerre de Goya, les Notes prises sur place par Victor Hugo lors des funérailles de l'empereur en 1840, des ouvrages de Michelet, Lavisse, des manuels scolaires, des bons points, des objets du culte johannique, une affiche de Grasset pour Sarah Bernhardt dans le r?le de Jeanne d'Arc. Un tableau allégorique de Meissonier sur le Siège de Paris () est prêté par le musée d'Orsay.
Pour les périodes plus récentes, un éclairage particulier s'attache à la mutation de la posture du soldat, du héros partant à l'assaut, au poilu dans la boue des tranchées, ainsi qu'à la concurrence des héros dans l'entre-deux-guerres.
Les manuscrits de Vol de nuit de Saint Exupéry et de Premier Combat de Jean Moulin, ainsi que le discours de Malraux pour le transfert des cendres de Moulin au Panthéon, les dernières lettres de Joseph Epstein (colonel Gilles) à sa femme et son fils (collection Georges Duffau) sont des illustrations emblématiques du héros combattant et du résistant. Les héros multiples d'aujourd'hui sont appréhendés à travers des médias divers : affiches, photographies, journaux, BD, albums d'images à coller, jeux vidéo, tableaux, livres, disques, jouets…
Odile Faliu
Le tournoi de Sorelois. Lancelot du Lac. France, XVe siècle (C) BnF/Dép. Manuscrits
113, rue du Cherche-Midi75006 Paris M&#176; Duroc, Falguière, Montparnasse - BienvenüeFrancePhone : +33 (0)9 61 26 92 13Mail : Internet Site :
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Du 13 février au 29 mars
prolongation jusqu'au samedi 3 mai inclus
D'origine allemande, Sylvester Engbrox est un artiste aux talents multiples. D'abord photographe (il fut l'assistant de Larry Fink), il dirigea un temps un label indépendant de musique avant de revenir complètement à la peinture il y a deux ans. Son oeuvre révèle sa vision singulière du monde qui l'entoure. Sylvester Engbrox peint des toiles mettant en scène des personnages dans des décors élaborés et improbables. Les sujets sont des femmes vues au travers de leur nudité, parfois mélancoliques, souvent solitaires et observées par d'autres personnages. L'exposition-vente rassemble une dizaine de ses oeuvres.
Artiste inclassable, Sylvester Engbrox peint des toiles révélant sa vision fantasmatique du monde qui l'entoure. Du 13 février au 29 mars, la galerie VivoEquidem nous permet de découvrir l'univers à part de ce peintre, au travers d'une exposition rassemblant plusieurs de ses toiles.
Les oeuvres de Sylvester Engbrox mettent en scène des personnages dans des décors élaborés et improbables. Les sujets sont des femmes vues au travers de leur nudité, parfois mélancoliques, souvent solitaires et observées par d'autres personnages. L'artiste puise son inspiration dans les images publiées dans la presse grand public ou sur Internet, images qu'il n'a de cesse de classer selon une typologie qui lui est propre. C'est de la confrontation entre ces images que naissent ses peintures.
D'origine allemande, Sylvester Engbrox est un artiste aux talents multiples. D'abord photographe (il fut l'assistant de Larry Fink), il dirigea un temps un label indépendant de musique avant de revenir complètement à la peinture il y a deux ans.
Présentées pour la première fois, ces oeuvres dont certaines suscitent sentiment d'étrangeté et impression de <>, ont un sens que l'artiste laisse à chacun le soin d'imaginer. Résolument moderne, la peinture de Sylvester Engbrox est une des grandes découvertes de l'art actuel.
Jean-Luc Chalumeau, critique d'art, a présenté l'exposition le 12 février (vernissage) en présence de l'artiste et a préfacé un catalogue grand format, en version billingue (anglais et fran?ais). Il sera disponible à la galerie au prix de 16 euros. 50 exemplaires signés par l'artiste seront également mis en vente au profit de l'association au prix de 50 euros. Vous pouvez le réserver dès maintenant.
21, rue de Miromesnil75008 Paris M&#176; MiromesnilFrancePhone : +33 (0)1 42 65 02 88Fax : +33 (0)1 42 66 34 50Mail : Internet Site :
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14 mars - 18 avril 2008
Du lundi au samedi 11h-13h et 14h-19h
Vernissage en présence de l'artiste Jeudi 13 mars de 18h à 22h
Peaux d'autruche ou d'alligator, cornes de zébu, dents de phacochère ! Bienvenue dans l'univers décalé et hors normes de Michel HAILLARD.
Ce créateur de mobilier, à l'originalité débridée, vous propulse dans un monde fantastique, baroque et tribal, bravant les tabous et les effets de mode.
Dans sa prochaine exposition, Michel HAILLARD nous présente ses nouvelles oeuvres. Toutes uniques, fruit d'un savant mélange des matières les plus nobles et les plus précieuses, elles révèlent une puissance créative sans aucun précédent.
Admirées, parfois détestées, ses oeuvres ne peuvent laisser indifférent. Vecteurs de sensation, d'émotion et de rêve, elles bousculent notre imaginaire.
Les meubles de Michel HAILLARD sont des créations d'un design baroque, exotique et paradoxal.
Véritables sculptures, les fauteuils, commodes et autres méridiennes de
Michel HAILLARD associent parfaitement esthétique et fonctionnel. Les fauteuils sont des tr?nes de chefs de tribu, les commodes sont des écrins pour des documents ou objets précieux et secrets…
Ses matières, Michel HAILLARD les collectionne depuis des années, au hasard de ses explorations et de ses recherches. Il combine le naturel incontestable de ses matériaux
– cornes ou os d'origines diverses, peaux d'antilope, de crocodile, de zèbre etc. –
au raffinement du bronze, ambre ou cristal.
Pour partir à la rencontre de ses créations inclassables, un ouvrage vient de lui être consacré, introduit par Philippe STARCK.
"Se battre, toujours se battre.
La vie de l'animal sauvage est terrible.
Non pas se battre pour survivre
au contraire, se battre,
se battre pour se faire attraper,
trucider, tanner, écailler,
empailler, pour finir en les plus beaux canapés du monde.
Les canapés et fauteuils de Michel Haillard
Moi-même, j'hésite…"
PHILIPPE STARCK
Sofa BADMAN
Lampadaire ?M?N
1, rue d'Alger75001 Paris M&#176; Tuileries, PyramidesFrancePhone : +33 (0)1 40 13 05 88Fax : +33 (0)1 40 20 98 09Mail : Internet Site :
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17 chefs-d'oeuvre retracent le parcours fulgurant de Jean-Michel Atlan, de son entrée en peinture à la veille de sa mort.
Exposition du 17 janvier au 22 mars 2008
Du mardi au samedi, de 10h30 à 12h30 et de 14h à 18h30
Aucune exposition n'avait présenté de fa?on si cohérente l'oeuvre peint de Jean-Michel Atlan depuis la grande rétrospective du Musée national d'Art moderne à Paris, en 1963. Pour la première fois depuis plus de quarante ans, la création d'Atlan se laisse appréhender de l'entrée en peinture de l'artiste à la veille de sa mort.
Après Atlan, Peintures, Grands formats, en 2002, la Galerie Jacques Elbaz propose une traversée exceptionnelle de l'oeuvre d'Atlan et livre une vision inédite du travail de l'artiste.
Cette exposition consacrée à Jean-Michel Atlan est très certainement la plus importante qu'une galerie puisse présenter avant longtemps. Engagé auprès de l'oeuvre d'Atlan depuis la fin des années 1960 comme collectionneur puis comme marchand, Jacques Elbaz sait qu'il ne pourra plus jamais réunir un tel ensemble.
Dix-sept tableaux, dix-sept chefs-d'oeuvre. Tous marquant une étape particulière dans l'oeuvre d'Atlan, tous définissant une recherche et une évolution permanentes. Un parcours fulgurant témoin d'une oeuvre livrée en quinze ans à peine…
. Remarqué dès ses débuts par Gertrude Stein,
ou , Atlan se place d'emblée au premier plan de la scène artistique et s'imposera parmi les figures majeures de son temps. Avec une liberté unique dans sa génération, il ne suivra jamais que sa voie propre, porté au-delà des modes par la seule nécessité de son oeuvre. OEuvre impossible à rattacher à aucun mouvement contemporain, oeuvre profondément originale…
“Aujourd'hui encore la peinture d'Atlan ne cesse de nous surprendre”, souligne Jacques Elbaz.
Parmi les oeuvres présentées, certaines affichent de très beaux itinéraires muséaux. D'autres, acquises directement auprès de l'artiste, sortent pour la première fois de collections particulières et n'ont jamais été exposées.
Jalons d'une exposition con?ue en véritable hommage à l'artiste, Le Kybalion, Portugal, Cléop?tre, Rhapsodie gitane, Zénith, Zarathoustra, Ishtar II, Opéra noir II, ou même Sans titre, chaque oeuvre impose l'arrêt tandis que toutes portent ensemble une lumière singulière sur l'oeuvre d'Atlan.
Pièce d'une grande rareté, Rhapsodie gitane, 1958, est l'une des trois seules toiles d'Atlan existant dans le format 97x162cm, la seule toile de ce format présentée sur le marché depuis quarante ans, la dernière accessible.
A l'occasion de cette exposition, la Galerie Jacques Elbaz éditera un catalogue reproduisant l'ensemble des tableaux présentés.
UN DESTIN SINGULIER
“C'est mon destin sans doute d'abandonner les routes trop publiques.
Comme le dit le proverbe berbère, quand les sauterelles arrivent,
il vaut mieux planter sa tente ailleurs. Et la mode, en peinture, fait
bien plus de ravages que les sauterelles”
Jean-Michel Atlan, Lettre aux amis japonais, 19591
1930. Jean-Michel Atlan a dix- l'attrait de l'inconnu oriente déjà son destin. Fils d'une famille de Constantine passionnée par l'étude de la Kabbale, il part pour Paris, s'inscrit en philosophie à la Sorbonne. Très vite, sa quête dépasse les murs de l'université. Il découvre la vie, rêve de changer le monde. Il se tourne vers la politique et milite contre le colonialisme et les fascismes montants.
. Le destin le presse. Sa trajectoire d'artiste se précise. Professeur de philosophie, il est révoqué du fait des lois antisémites. Livré à lui-même, il découvre la poésie. Il écrit, dessine et peint. Paraissent les poèmes Initiation des mortes puis Autres soleils et autres signes dont Gaston Bachelard souligne la singulière “valeur germinative”2. “Fait capital”3 : il rencontre Denise et s'installe avec elle, par “hasard” dans un atelier d'artiste, rue de la Grande Chaumière, à Montparnasse.
1942. La vie du poète bascule dans les ténèbres. Résistant dès le début de l'Occupation, le couple Atlan est arrêté et incarcéré. Atlan feint la folie, prétend être Evêque de Constantine et communiquer par télépathie avec sa femme, et trouve asile à Sainte-Anne.
1944. Marche irréversible : le poète est devenu peintre. Dans sa tenue d'interné, il prend part à la Libération de Paris, habité par l'idée de se procurer couleurs, toiles et pinceaux. Révélation pour la critique, adieu à l'écriture pour l'auteur, para?t Le sang profond, réunissant ses poèmes. Pour la première fois, il expose ses peintures et ses dessins à la Galerie L'Arc-en-Ciel, à Paris. Précurseur, son art explore déjà les voies de l'informel.
1945. Débute un parcours fulgurant dans le monde artistique d'après-guerre. D'emblée les portes des salons et des galeries parisiennes s'ouvrent à lui. Jean Paulhan, Clara Malraux, Arthur Adamov, reconnaissent son talent, ainsi que Gertrude Stein qui fait l'acquisition de six toiles bient?t montrées à Londres et à New York et projette de lui consacrer un ouvrage. Ses oeuvres circulent au Japon. Il entreprend d'illustrer Description d'un combat de Kafka et s'initie à la lithographie.
. La peinture d'Atlan se révèle pleinement. Le succès est immédiat. Il est l'un des premiers artistes présentés dans la toute nouvelle . Après Matisse, Braque, Picasso, Bonnard, Léger, il entre dans le temple d' et signe un contrat avec la prestigieuse galerie en 1947. Il participe ainsi aux expositions Le noir est une couleur puis Sur quatre murs, et fait l'objet de deux importantes expositions personnelles. Ses oeuvres figurent dans l'exposition L'imaginaire à la Galerie du Luxembourg. Etudes, articles et interviews se multiplient, marquant l'intérêt de la critique pour l'artiste.
1948. A trente-cinq ans, Atlan est reconnu comme un artiste majeur et commence à exposer à l'étranger4. La route ouverte est royale. Pourtant il bifurque pour suivre sa voie propre, en marge de la scène artistique parisienne et de ses modes. Il rompt son contrat avec la . Jusqu'en 1956, il ne présentera aucune exposition personnelle à Paris. A Aimé Patri, il déclare : “Nous sommes quelques-uns que l'on désigne comme peintres abstraits mais qui redoutons qu'on vienne, en faisant la théorie de cet art, nous prêcher un nouveau dogmatisme”5.
Atlan s'inscrit en marge. Ses contemporains viennent à lui. Son influence s'étend. Dans le Paris d'après-guerre, son “pouvoir de rayonnement” est alors “le seul comparable à celui de Picasso trente ans plus t?t”6 témoigne Michel Ragon.
“Les samedis d'Atlan” font parler d'eux dans les milieux artistiques du monde entier. Peintres, écrivains, ouvriers, intellectuels, voyageurs, modèles et visiteurs en tout genre convergent vers l'atelier de la Grande Chaumière. Ainsi Pollock, Asger Jorn, Hartung, Poliakoff, Soulages, Picabia, Okamoto, Michaux, Ionesco, Paulhan, Adamov…
Résolument inclassable, la peinture d'Atlan aborde les années 1950 et le monde. Au-delà des idées d'abstraction et de figuration. Echappant à tous les mouvements qui émergent sur la scène d'après-guerre.
1949. Les expositions personnelles de l'artiste ont lieu à Venise, à la Galerie Sandri, et à Copenhague, au Salon Corner. Sollicité par la revue Cobra, il expose aux c?tés de ses représentants sans jamais adhérer à leur groupe, marquant là encore sa singularité.
. Il participe au Salon de mai à Paris, puis aux expositions organisées par Jean Cassou en Isra?l et en Yougoslavie. Au Japon, où ses oeuvres sont diffusées en cartes postales, il exerce une forte influence, suscite de nombreux articles et re?oit un accueil exceptionnel lors de l'exposition Art occidental à Tokyo.
1955. En une décennie, la peinture d'Atlan est arrivée à maturité. “Vivantes”, les formes qu'elle engendre respirent et s'approfondissent de chef-d'oeuvre en chef-d'oeuvre. Il revient sur la scène parisienne, magistral. A la Galerie Charpentier7, il est l'artiste phare de l'exposition “Ecole de Paris 1955” dont il réalise l'affiche. Dans l'exposition Trente peintres de la nouvelle Ecole de Paris, à la Galerie Craven, il prend place aux c?tés de Dubuffet, Fautrier, Hartung, Poliakoff, Soulages, de Sta?l, Vieira Da Silva.
. Atlan a tenu tête. Paris s'incline. Et consacre son art. Sa première exposition personnelle à Paris depuis près de dix ans, à la Galerie Henry Bing, lui vaut un succès sans précédent. En 1957, les expositions consacrées à l'artiste au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, au Musée Picasso d'Antibes, donnent la mesure d'une oeuvre majeure. Ses toiles figurent dans les expositions Depuis Bonnard au Musée national d'Art moderne à Paris, et Nouvelle Ecole de Paris au Musée Bridgestone à Tokyo.
1958. Son succès est à son apogée, succès que peu d'artistes connaissent de leur vivant. Il décide de s'isoler et quitte Paris. Il acquiert une maison à Villiers-sur-Tholon dans l'Yonne, y installe son atelier, et entre dans sa période la plus productive. Les expositions se succèdent : expositions personnelles à la Galerie del Naviglio à Milan et à la Galerie Czwiklitzer à C expositions collectives au Musée national d'Art moderne et à la Galerie Charpentier à Paris, à la Galerie Wildenstein à New York. En France et à l'étranger, plusieurs musées acquièrent des tableaux : La Kahena, 1958, rejoint le Musée national d'Art moderne à Paris et Baal Guerrier, 1953, la Tate Gallery de Londres.
1959. Londres. Premiers coups portés par la maladie. Atlan riposte. Hospitalisé lors de son importante exposition à la Kaplan Gallery, il regagne l'atelier de Villiers-sur-Tholon. Très affaibli, il déploie dans sa peinture une force surprenante. Ainsi le remarquable ensemble de détrempes, d'huiles et de pastels bient?t exposés à la Galerie Henry Bing. Et les chefs-d'oeuvre destinés aux expositions programmées à New York et Tokyo… “J'attache une très grande importance à cette manifestation à Tokyo et je vais réserver mes meilleures toiles”8 écrit-il. Mais il n'y assistera pas… son destin est scellé.
1960. Retour à l'atelier de la Grande Chaumière, et à Montparnasse. Atlan meurt quelques jours plus tard, à quarante-sept ans. La nouvelle est relayée à travers le monde. En France, la presse célèbre l'artiste de Cimaise à Paris-Match. A New York, toutes les toiles de l'exposition “Atlan, recent paintings and gouaches” organisée par Théodore Schempp à la Galerie The Contemporaries, sont vendues le soir même du vernissage. Les Hommages à Atlan se succèdent au Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris, à la Kunsthaus de Zurich, au Salon Corner de Copenhague. Suivront, la grande rétrospective Atlan du Musée national d'Art moderne à Paris en 1963, et celle, du Tel-Aviv Museum of Art en 1964. En 1980, le Musée national d'Art moderne, Centre Georges Pompidou, consacrera aussi une exposition à l'artiste.
“AUTRES SOLEILS ET AUTRES SIGNES”
“Je suis aorte et je suis temps
Et je cherche au profond de la torpeur Nature
D'autres soleils
Et d'autres signes”
Jean-Michel Atlan, “Autres soleils et autres signes”, 1941
“Quand une forme est vivante elle n'est plus ni abstraite ni figurative”
Jean-Michel Atlan, Lettre aux amis japonais, 1959
“Une originalité frappante”, soulignait Gertrude Stein dès sa première visite à l'atelier de l'artiste en 1945. Une originalité si radicale même qu'” intolérable”9 une originalité irrécusable, que l'on aime, ou non, cette peinture…
La peinture d'Atlan est la terre inconnue dont le jeune poète parti à la recherche “d'autres soleils et d'autres signes” annon?ait l'abord. “Un univers de lignes et de couleurs qui n'emprunte pas à la littérature, qui ne ressemble pas à ce que l'on appelle la réalité, mais qui constitue par lui-même une réalité”10, commente l'artiste en 1945 lors d'une interview parue dans la revue Continuity…
Un univers engendrant ses propres formes, un univers que toute terminologie contemporaine devait échouer à décrire. Traité “comme une unité organique et biologique et non simplement comme une unité mécanique ou géométrique”11, l'espace pictural d'Atlan ne pouvait s'identifier à l'art abstrait – alors précisément lié à l'idée de géométrie et étranger à celle de nature – pas plus qu'à l'art figuratif. De même qu'à aucun mouvement d'après-guerre – de l'abstraction lyrique à l'art gestuel et à l'art autre, de l'art informel au tachisme – se situant, par essence, au-delà de tout académisme, de toute théorie.
“Je ne suis pas abstrait ni du point de vue du climat de mes oeuvres […] ni du point de vue exécution. Une forme m'intéresse seulement quand elle vit (ou quand j'ai réussi à la faire vivre), et alors elle n'est plus “abstraite”, elle est vivante”, précise Atlan. Et d'ajouter : “je ne suis pas figuratif, du moins jusqu'à présent, parce que les formes qui m'ont pris aux entrailles (et hors de ?a point de peinture) sont celles qui dépaysent le spectateur (l'homme, moi-même), qui lui font tout à coup percevoir qu'il est environné, “du dedans” et en dehors, de forces terribles (et parfois hostiles), mystérieuses et familières à la fois”12.
L'art d'Atlan plante ailleurs ses racines. Il est assurément bien plus proche de celui “des Noirs, des Assyriens, des Etrusques et des romans”13 que de celui d'une quelconque école occidentale, des renaissants italiens jusqu'aux mouvements contemporains. Mais cette proximité jamais ne bascule dans un exotisme facile. Cet “aspect barbare” qui caractérise la peinture d'Atlan tient à l'érotique et au magique, à sa “violence créatrice”14, à sa partie liée avec les danses sacrées…
ATLAN, DANSEUR “DES DANSES SACR?ES”
“Il faut porter encore en soi un chaos, pour pouvoir mettre au monde
une étoile dansante”
Friedrich Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra 15
“Un orage mena?ait dans le ciel, comme si la nature avait voulu par la foudre
détruire toutes les formes existantes pour en recréer de nouvelles”
Marquis de Sade, Juliette16
Des oeuvres “magnifiquement construites, sans concession, qui se dressent avec force” : Voilà ce qu'incarnent les primitifs au regard de l'artiste et qui évoque voilà la “violence créatrice” qui “l'émeut”. C'est du chaos qu'émerge l'oeuvre, luttant pour conquérir ses formes et sa matière, se confrontant à des “forces magiques infiniment redoutables”17 pour gagner son existence…
L'art d'Atlan est celui “d'appréhender les rythmes essentiels de la nature, de les capter”18, de “respirer avec eux”, pour les restituer jugulés dans une peinture qui est geste : l'artiste “ne peint pas seulement avec ses yeux mais avec le mouvement de son corps et de ses muscles”19.
Son geste appartient au domaine du sacré : “mes lignes de forces m'auraient conduit, en un autre temps à être sorcier ou danseur. Danseur dans le sens des danses sacrées, mystiques, magiques. Je me sens proche des “hassidim”, des derviches musulmans, des danseurs bouddhistes, des envo?tés nègres d'Afrique ou d'Amérique. […] Ce ne sont pas les musées qui m'ont conduit à ma vocation de peintre, mais les chamans”20, souligne Atlan.
“Ce sont les rythmes qui engendrent les formes, qui partagent l'espace de la toile, qui créent une architecture vivante et qui donnent enfin la vie à des formes sur lesquelles on ne peut pas mettre un nom”21, et les rythmes “n'existent qu'en animant la matière”22, une matière capable de leur “résister”. Tandis que “le rythme se brise, se complique”, la peinture consiste en cette “ lutte” qui lui “redonnera son unité et sa simplicité”23…
“Le peintre est avant tout un danseur, un danseur “abstrait” qui s'élance dans l'espace de la toile”24 : “j'ai l'impression que ma peinture est elle-même danse et aussi que la danse des vrais “danseur” se suffit à elle-même et pourrait tout aussi bien se passer des décors, que peut-être même de la musique. Si on ajoute paradoxalement que la vraie danse pourrait aussi se passer du danseur, alors on est déjà très prés de ma peinture”25, conclut Atlan.
: UNE TRAVERS?E EXCEPTIONNELLE
“Ma peinture, en tout cas, est ouverte […]
Chacune de mes toiles diffère de la précédente, marquant des incursions
inattendues dans des mondes à explorer.
Je m'efforce toujours de reculer mes limites et de ne jamais m'enfermer”
Jean-Michel Atlan, extrait de correspondances avec Michel Ragon26
Description d'un combat de Kafka illustré de trente-deux lithographies d'Atlan préludera à la traversée de l'oeuvre peint. Travaillant à même la pierre “au profit du seul noir et blanc, du dessin et de la lumière”, le peintre “découvre la matière et apprend la couleur”27… Edité en 1946 par
à trois cent cinquante exemplaires, ce très bel ouvrage dont les illustrations furent réalisées à partir de 1945 donna lieu à une exposition à l'H?tel du Port Royal, à Paris, en 1947.
Le parcours débute avec Sans titre, 1949, huile sur toile (130x97cm) exécutée entre 1947 et 1949 au sortir de premières recherches et des “impasses”28 de l'informel.
Atlan entre véritablement en peinture avec des oeuvres d'une profonde originalité. Sur fond de nuit, des formes arrondies ou piquantes, parfois allusives, convulsent et viennent occuper l'espace entier de la toile tandis que la lumière perce par trouées.
Au regard des oeuvres d'Atlan répertoriées à ce jour, aucune toile avant celle-ci n'avait été réalisée dans ce format, le plus grand qu'il ait alors jamais utilisé29 depuis ses débuts. Bien qu'il soit certainement l'un des plus importants de cette période, ce tableau est exposé pour la première fois.
Suit Sans titre, 1953, pastel et fusain sur carton (100x65cm) emblématique de l'inspiration totémique alors très sensible dans l'oeuvre d'Atlan. Une oeuvre qui signe aussi la parfaite ma?trise de techniques employées tout au long de sa production. Provenant d'une collection particulière parisienne, cette pièce acquise directement de l'artiste n'a jamais été exposée.
En phase de transformations profondes, la peinture d'Atlan s'achemine très vite vers la maturité : Sans titre, 1954, huile sur toile (100x65 cm), marque un premier tournant dans les recherches de l'artiste. Un cerne noir vient désormais définir chaque forme et souligne les bords de la toile, organisant l'architecture du tableau, élaborant son rythme même. Spirales, hachures, dents de scie, les motifs antérieurs perdurent et évoluent comme autant de fils conducteurs dans l'oeuvre d'Atlan, de même qu'un certain caractère totémique.
Cette toile participa aux rétrospectives Atlan du Musée national d'Art moderne à Paris en 1963 et du Museum of Art de Tel-Aviv en 1964, ainsi qu'à l'exposition Dix ans d'art vivant , à la Fondation Maeght de Saint-Paul de Vence en 1966.
Une nouvelle étape du parcours s'engage avec trois tableaux datés de 1956, des oeuvres magistrales signant la maturité atteinte par l'artiste autour des années . Sensible mais appelé à dispara?tre toujours plus au profit de la recherche rythmique et de l'abstraction des formes, l'aspect totémique de la peinture d'Atlan devient éminemment personnel. Le cerne noir s'épaissit, tendant parfois à se faire lui-même forme, et souligne désormais chaque forme en présence, de sorte qu'il n'existe plus de fond. La matière picturale gagne en densité, se révélant au coeur de la recherche permanente de l'artiste.
Le Kybalion, 1956, huile sur toile (100x100 cm), compte sans doute parmi les oeuvres les plus connues de l'artiste, tant il fut exposé et reproduit. Montré pour la première fois au Musée Picasso d'Antibes lors de l'exposition Atlan, en 1957, il figurait notamment dans l'Hommage à Atlan au Salon de mai à Paris en 1960, puis dans les rétrospectives Atlan du Musée national d'Art moderne de Paris en 1963, et du Museum of Art de Tel-Aviv en 1964…
Sans titre, 1956, huile sur toile (146x89cm), participa en 1956 à l'exposition Atlan à la Galerie Henry Bing à Paris dont le succès fut sans précédent. Cette toile provient d'ailleurs de l'ancienne Collection Henry Bing. Elle fut montrée pour la dernière fois lors de la rétrospective Atlan du Musée national d'Art moderne à Paris en 1963.
Sans titre, 1956, huile sur toile (130x81cm) acquise directement de l'artiste par un collectionneur fran?ais, n'a quant à elle jamais été exposée.
En pleine possession de son art, Atlan n'a de cesse de poursuivre ses recherches. A la manière d'un organisme vivant, sa peinture continue de se développer. Et chacun de ses états para?t unique. Ainsi les quatre toiles majeures datées de 1957 qui composent la suite de l'exposition.
Parmi les chefs-d'oeuvre de l'artiste, Portugal, 1957, huile sur toile (146x89cm) d'autant plus importante qu'elle fut l'une des oeuvres les plus chères à Atlan. A preuve, les différentes photographies montrant l'artiste à ses c?tés ou la mettant en évidence. Présentée au Salon de mai à Paris en 1958, Portugal participait aussi à l'Hommage à Atlan de la VIIe Biennale du Musée d'Art moderne de Sao Paulo en 1963, et aux rétrospectives Atlan du Musée national d'Art moderne à Paris en 1963, et du Museum of Art de Tel-Aviv en 1964.
En écho à Portugal, vient Cléop?tre, 1957, huile sur toile (130x81cm), imposant également l'arrêt. Découvert lors de l'exposition personnelle de l'artiste à la Galleria del Naviglio, à Milan, en 1958, ce tableau n'a pas été montré depuis la rétrospective Atlan du Musée national d'Art moderne à Paris en 1963.
On remarquera aussi Sans titre, 1957, huile sur toile (146x89cm) présente dans les expositions consacrées à l'artiste à la Galerie Henry Bing, à Cannes, à la fin de l'année 1965, puis à la Galerie Saint-Léger, à Genève, en 1971.
Plus loin, Sans titre, 1957, huile sur toile (130x81cm), annonce une nouvelle évolution dans la peinture d'Atlan. Si chaque forme se trouvait auparavant cernée de noir et comme saisie dans sa mouvance, seules certaines d'entre elles le sont désormais, d'autres évoluant alors de fa?on distincte, comme en fond.
Dernières années de production d'Atlan, années les plus abondantes signant son grand oeuvre, 1958 et 1959 appellent à d'autres métamorphoses. L'artiste atteint à une ma?trise surprenante de la composition rythmique. Le cerne noir se fait écriture, calligraphie singulière, tandis que les formes s'organisent dans des jeux de contrastes et de miroirs…
Zénith, 1958, huile sur toile (116x73cm) exposée lors de la rétrospective Atlan au Musée national d'Art moderne à Paris en 1963, et Sans titre, 1958, huile sur toile (130x81cm) acquise directement de l'artiste par un collectionneur espagnol et exposée pour la première fois, ouvrent la voie à des mutations profondes et à Rhapsodie gitane, 1958, oeuvre musicale entre toutes, consacrant l'itinéraire entier du peintre…
Rhapsodie gitane est l'une des trois seules toiles d'Atlan existant dans le format 97x162cm, la seule toile de cette dimension présentée sur le marché depuis quarante ans, la dernière accessible. Les deux autres oeuvres de ce format se trouvent respectivement conservées à la Tate Gallery à Londres (B?al Guerrier, 1953) et dans une importante collection américaine (Sans titre, 1956).
Cette oeuvre est d'autant plus rare que les très grands formats d'Atlan, onze toiles seulement, toutes des oeuvres majeures, ont déjà rejoint pour la plupart les plus prestigieuses collections muséales et particulières. Le dernier passage d'une de ces toiles sur le marché remonte à 1989 ; elle fut présentée en 2002 à la Galerie Jacques Elbaz lors de l'exposition Atlan, Peintures, Grands Formats.
Parcours exceptionnel pour une oeuvre exceptionnelle : Rhapsodie gitane, participait en 1963 à la rétrospective Atlan du Musée national d'Art moderne à Paris, et à l'Hommage à Atlan lors de la VIIe Biennale du Musée d'Art moderne de Sao Paulo, puis en 1964 à la rétrospective Atlan du Museum of Art de Tel-Aviv. En , au départ du Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, elle faisait l'objet d'une exposition itinérante en Belgique, Art fran?ais contemporain, vingt peintres fran?ais, et prenait également part à l'exposition 24 franske malere
au Kunstforemingen, à Copenhague. A Paris, on la vit pour la dernière fois il y a plus de vingt ans, au Grand Palais, en 1985, lors de l'exposition De la Bible à nos jours.
En regard de cette oeuvre magistrale, trois importantes détrempes témoignent de l'importance de ce procédé familier à l'artiste explorant sans cesse la matière picturale : “une matière qui peut […] n'être qu'une poudre ou bien épaisse comme le ciment du ma?on” ; une matière con?ue comme “la chair du tableau”30.
Citons : Opéra noir II, 1958, détrempe, huile sur carton (120x80cm) montrée au Musée national d'Art moderne à Paris en 1958 lors de l'exposition De l'impressionnisme à nos jours, puis en 1963 lors de la rétrospective A Zarathoustra, 1958, détrempe, huile sur carton (121x80cm), jamais vue depuis son exposition en 1958, à la Galerie Christoph Czwiklitzer à C Ishtar II, 1958, détrempe, huile et pastel sur carton (120x81cm), montrée pour la dernière fois en 1959 dans l'exposition Six peintres de l'Ecole de Paris à la Galerie Kaare Berntsen à Oslo.
Des oeuvres qui toutes témoignent de l'enrichissement constant d'une technique et d'une matière picturales éminemment personnelles.
Comète traversant le ciel artistique d'après-guerre, l'oeuvre d'Atlan s'interrompt en pleine fulgurance. Atteignant très vite au sommet de son art, l'artiste aura con?u en quinze ans à peine l'une des oeuvres majeures du XXe siècle.
Disparu subitement, il laisse dans ses derniers chefs-d'oeuvre la promesse d'autres métamorphoses… Ainsi Sans titre, 1959, huile sur toile (130x81cm) acquise directement de l'artiste et pour la première fois exposée.
Après la dernière toile qu'il découvre, ce parcours unique ne prend pas fin. Sa plus belle découverte reste, en nous, l'univers d'Atlan retrouvé.
62, rue de Lille1, rue de la Légion d'Honneur75343 Paris Cedex 07 M&#176; Musée d'Orsay, SolférinoFrancePhone : +33 (0)1 40 49 48 14Internet Site :
Description:
Musée d'Orsay
Galerie de photographie
12 février - 27 avril 2008
Horaires : Tous les jours, sauf le lundi, de 9h30 à 18h, le jeudi de 9h30 à 21h45
Tarification : Droit d'entrée au musée : plein tarif : 8 EUR ; tarif réduit et dimanche : 5,5 EUR
Bénéficiaires du tarif réduit : les visiteurs ?gés de 18 à 30 ans et les familles nombreuses. Le jeudi soir, tarif réduit pour tous et gratuité pendant six mois pour les 18-25 ans.
Conférences : Vérités et mensonges : naissance du photo-reportage, en partenariat avec l'Agence Magnum, 13, 20 mars et 3 avril 2008 à 18h30 (entrée libre).
Visites avec conférencier : les jeudis à 19h30, du 21 février au 17 avril 2008.
Aujourd'hui méconnu, Léon Gimpel fut pourtant un célèbre photographe amateur de la Belle Epoque, gr?ce notamment à son travail pour le journal L'Illustration. Il laisse libre cours à sa curiosité en réalisant des reportages pour la presse et en concevant des séries destinées à la vulgarisation scientifique. Animé d'une insatiable curiosité technique, il essaye de pousser au plus loin les possibilités du médium. Sa pratique amateur devient alors virtuose : il enregistre en noir et blanc la foudre qui s'abat sur la tour Eiffel, l'évolution d'un Paris nocturne qui s'éclaire désormais à l'électricité ou encore la vision en plongée que les premiers aviateurs per?oivent de leurs nouveaux engins.
En 1907, Gimpel est associé à la présentation de l'autochrome, premier procédé commercialisé de photographie en couleurs, dans les locaux de L'Illustration. Il en exploite de fa?on magistrale les possibilités, réalise des reproductions en couleurs de paysages de montagne, d'éclairages de fa?ades ou de scènes de la vie parisienne, magnifie en somme l'univers chatoyant de la Belle Epoque.
L'exposition rassemble autochromes et tirages sur papier, mais également des plaques de projection utilisées pour des séances alors aussi populaires que celles des premiers films du cinématographe.
En 1907, il organise la présentation de l'autochrome dans les locaux de L'Illustration. Mis au point par les frères Lumières, l'autochrome est le premier procédé industrialisé et commercialisé de photographie en couleurs. Non seulement Gimpel exploite l'autochrome, mais il en accélère la sensibilité pour enregistrer en couleurs des moments fugaces ou des sujets peu lumineux : des scènes de la vie parisienne, des éclairages de fa?ades et des paysages de montagne deviennent autant de possibilités iconographiques pour le photographe qui rend gr?ce à l'univers coloré et chatoyant de la Belle ?poque.
La Foule s'écoulant sur le parvis Notre-Dame après le passage du cortège de la mi-carême (vue prise de Notre-Dame), 3 mars 1910
(C) Léon Gimpel / Photo Patrice Schmidt, Paris, musée d'Orsay
Gimpel travaille pour le journal L'Illustration à partir de 1904 ; l'association entre le photographe et l'hebdomadaire dure trente ans. L'essentiel de ses images publiées représente une actualité de proximité, mais il joue également les <> et couvre notamment la venue des souverains russes à Cherbourg ou le célèbre meeting aérien de Bétheny. ? cette occasion, Gimpel s'embarque à bord d'un dirigeable et photographie l'évolution des pionniers de l'aviation de haut en bas. ? partir de cette date, le photographe adopte régulièrement le mode de la vision en plongée qui devient un véritable style dans son traitement de l'actualité pour la presse illustrée.
Gr?ce au don de sa femme, les photographies de Léon Gimpel sont conservées par la Société fran?aise de photographie. Elles ont été récemment inventoriées, classées et reconditionnées. L'étude du Journal de Gimpel a permis d'enrichir leur connaissance et l'analyse des archives du journal L'Illustration a offert la possibilité d'étudier pour la première fois les liens entre la photographie originale et sa publication dans la presse.
L'exposition présente environ 180 photographies – autochromes et plaques de projection, ses images seront mises en rapport avec les extraits de L'Illustration.
Enseigne lumineuse. Photo Muget, 28 novembre 1925
(C) Léon Gimpel / Photo Patrice Schmidt, Paris, musée d'Orsay
Cette présentation permet de rendre hommage au travail de Léon Gimpel mais aussi de valoriser, de fa?on exceptionnelle, une pratique de la photographie très populaire en son temps mais aujourd'hui oublié les séances de projection de plaques lumineuses étaient, au début du XXe siècle, aussi courues que celles des premiers films du cinématographe. ? c?té de la présentation des plaques de projection et des autochromes, environ 150 images sont projetées, en boucle.
Commissaires
Thierry Gervais, éditeur de la revue Etudes photographiques et membre de la SFP, Dominique de Font-Réaulx, conservateur au musée d'Orsay
En collaboration avec la Société fran?aise de Photographie
Avec le soutien de Neuflize Vie
Publication
Léon Gimpel (). Les audaces d'un photographe
Collectif, sous la direction de Thierry Gervais et Dominique de Font-Réaulx
Musée d'Orsay / 5 Continents Editions
Léon Gimpel Autoportrait au Palais de Glaces de l'Exposition universelle(C) DR - SFP
Léon Gimpel Place de la Madeleine un dimanche matin(C) DR - SFP
217, boulevard Saint-Germain75007 Paris M&#176; Rue du Bac, SolférinoFrancePhone : +33 (0)1 49 54 75 00Fax : +33 (0)1 45 49 06 33Mail : Internet Site :
Description:
du 17 janvier au 2 avril 2008
du lundi au vendredi de 11h à 19h
vernissage le mercredi 16 janvier à 18h30 en présence des artistes
Commissaires Jean Branchet et Anne Husson
Exposition co-organisée avec Orion Centre d'Art Géométrique MADI
Catalogue : 15 euros
Dans l'effervescence de l'après-guerre, les mouvements artistiques étaient nombreux. Le Mouvement MADI, créé par Carmelo Arden Quin en 1946 à Buenos Aires, se situait dans la sphère de l'art géométrique avec un apport primordial consistant dans la recherche de la polygonalité de l'oeuvre, le rejet de la forme traditionnelle qui enferme systématiquement le tableau dans le rectangle d'un <>. A ce principe fondamental de polygonalité, il convient d'ajouter ceux de ludicité, d'inventivité, de liberté dans le choix des matériaux, des techniques, tout en restant dans le domaine de la géométrie et des aplats de couleurs.
Des artistes décrivent la poésie du monde, d'autres ses drames, certains peignent la réalité. Ils sont gestuels ou formalistes. Ils veulent apporter un message au monde, avoir une action dans le domaine social ou politique... Les artistes MADI veulent tout simplement créer une oeuvre pure, ne signifiant rien, n'ayant aucun message à délivrer, une oeuvre qui n'existe que par elle-même, qui soit le résultat du <> de la créativité et de la sensibilité comme toute musique détachée d'une description.
Jean Branchet, co-commissaire de l'exposition
(extrait du catalogue, novembre 2007)
artistes sur :
http://www.mal217.org/agenda/newsletter/01-07.pdf
" class="entry" id="pop15809-7" href="view_entry.php?id=15809&date=">[15:00-17:00] <>
Description:
galerie Taibout - 42 rue de Provence - 75009 Paris
du 19/03/2008 au 12/04/2008
L'AJAC, qui célèbre cette année son 25e anniversaire, est sans nul doute l'une des plus importantes et des plus anciennes associations d'artistes coréens en France, et c'est à ce titre que ses membres sont régulièrement invités chaque année pour une exposition au . Entre souvenir et oubli, permanence et mutation d'une identité collective, la notion de "traces", qui anime cette exposition, correspond bien à l'idée de l'Association de nommer "in 25 out" les évolutions qu'elle a connues en 25 ans d'histoire et de transformation au cours desquels ses membres se sont renouvelés.
Le thème de la "traces" permet de présenter deux petits groupes sous les titres "réminiscence" et "oubli". La "traces" en tant que réminiscence est une sorte d'inscription, surgissement des souvenirs
en tant qu'oubli, elle est comme une ellipse. La plupart des images dont on se remémore peuvent se présenter d'une manière figurative, même si le souvenir est déformé dans la mémoire. L'oubli, quant à lui, entre dans la catégorie de l'abstraction, de l'informel, du monochrome.
Cette exposition présente les travaux autour du thème précité (peintures, photographies, vidéos, installations) d'une dizaine d'artistes parmi la quarantaine de membres de l'AJAC
45 artistes plasticiens présentent leurs oeuvres autour de Trace et Tourbillon.
A l'occasion du 25ème anniversaire de l'Association des Jeunes Artistes Coréens.
Vernissage le vendredi 21 mars 2008 - Exposition du 19 mars au 12 avril
2 Exposition, 2 Lieux :
à 15h-17h à Galerie Taibout - 42 rue de Provence - 75009 Paris
à 18h -20h00 au
- 2 av d'Iéna - 75116 Paris
Entrée libre dans la limite des places disponibles
" class="entry" id="pop15801-8" href="view_entry.php?id=15801&date=">[16:30] Prix international de littérature francophone <>
H?tel de Béhague123, rue Saint-Dominique5, rue de l'ExpositionH?tel de Béhague75343 Paris Cedex 07M&#176; Ecole Militaire, RER C Pont de l’AlmaFrancePhone : +33 (0)1 47 05 27 55Fax : +33 (0)1 44 18 90 17Mail : Internet Site :
Description:
Dans le cadre de la Journée Internationale de la Francophonie, aura lieu la troisième remise du Prix international de littérature francophone Benjamin Fondane. Ce prix fut créé en 2006 par l'Institut Culturel Roumain de Paris en collaboration avec la Société d'Etudes B. Fondane et avec l'association Le Printemps des Poètes, en mémoire de Benjamin Fondane (), grand poète, essayiste et philosophe d'origine roumaine, mort tragiquement à Auschwitz, dont l'oeuvre principale, marquée par la pensée existentielle, a été écrite en fran?ais. Le prix est accordé annuellement à un écrivain qui s'est illustré brillamment pendant les cinq dernières années dans les domaines de la poésie, de la prose poétique et de l'essai, qui écrit en fran?ais mais qui n'a pas la nationalité fran?aise. En 2006, ce prix fut accordé à Petr Kral, écrivain d'origine tchèque, et, en 2007, à Abdelwahab Meddeb, écrivain d'origine tunisienne. Cette année l'Institut Culturel Roumain de Paris remettra le vendredi 21 mars, à 16h30, au Palais de Béhague le Prix international de littérature francophone Benjamin Fondane à l'écrivain d'origine tchadienne Nimrod. Le prix est accordé pour poésie, prose poétique ou essai. Nimrod vient de publier chez Actes Sud le roman Le Bal des princes et l'essai La nouvelle chose fran?aise.[...]
207, boulevard Voltaire75011 Paris M&#176; Rue des BouletsFrancePhone : +33 (0)1 43 48 23 57Internet Site :
Description:
Exposition de Fran?oise Veillon
71, rue de Ménilmontant2, rue de la Mare75020 Paris M&#176; Ménilmontant, GambettaFrancePhone : +33 (0)1 40 33 04 54Mail : Internet Site :
Description:
CONCERT (SOUS R?SERVE) AVEC POLO
? L'OCCASION DE LA PARUTION DE "L'HOMME DE MARS"
LIVRE + CD
AUX ?DITIONS ACTES SUD BD
22, rue des Vertus75003 Paris M&#176; Arts et MétiersFrancePhone : +33 (0)1 42 77 90 88Mail : Internet Site :
Description:
du 21 mars au 19 avril 2008
ouvert du mardi au samedi de 15h à 20h30
L'équipe de l'association TRAvers a le plaisir de vous annoncer sa deuxième exposition : "Nui(t noi)re".
La galerie Kennory Kim convie l'association TRAvers pour offrir une carte blanche à Richard Laillier qui lui-même, dans le cadre de son exposition, invite Axel Rhod, photographe et sculpteur. Leur collaboration a donné lieu à "CUT", un court-métrage de Thierry Talin d'Eyzac.
http://travers.asso.free.fr
http://www.
13, rue Ternaux75011 Paris M&#176; Oberkampf, ParmentierFranceMail : Internet Site :
Description:
Du lundi 17 au samedi 22 mars, de 15h à 19h
Vernissage vendredi 21 mars, de 18h à 21h
OEil qui fume, sourire par terre, femme au tapis, héro?ne grimpée par des petits monstres oiseaux, flower power qui tourne mal, chatte dormant sur un to?t br?lant, sirène à la tête flottante dans les assiettes de loups garous, jeune fille à quatre pattes, boxeuse avec bonne soeur sur le haut de la coiffure, vieille sirène échouée sur le bord du rivage, maison de campagne aux long tunnels, jeune fille sans gr?ce étouffant un oiseau qui prenait une tête de femme pour un arbre. La nature est impitoyable et la vie n'est pas toujours une partie de sourire.
Mais des fois l venez voir...
38, avenue Franklin Roosevelt94300 Vincennes M&#176; Bérault, Ch?teau de VincennesFrancePhone : +33 (0)1 58 64 09 73Mail :
Description:
Quand, en 2050, nos descendants, lors de leurs vacances de plongée sous-marine, découvrent les anciens Pays-Bas au fond de la Mer du Nord, ils trouveront des restes d'une activité humaine, couverte d'algues et de coquillages. Ils trouveront aussi par ci par là des objets habillés d'une combinaison de surfeur colorée, parce que le néoprène isole, protège contre la surfusion, et contre la noyade.
Mia Trompenaars a commencé en 1984 à créer des sacs et des chaussures en cuir, ensuite elle a créé des oeuvres, en restant fidèle au matériau cuir.
Depuis 1993 elle utilise toujours le cuir, mais en combinaison avec d'autres matériaux.
comme p.e. pour "A farewell to arms" : une série de bo?tes pour les machines et les outils avec lesquels elle a travaillé quelques années pour construire son atelier et habitation.(masse, compresseur, chalumeau, betonneuse, ... )
Chaque outil/machine a sa bo?te pour pouvoir s'y reposer en toute sécurité sur un coussin doux dans une 'maison' en zinc.
Les dernières années elle utilise le matériau néoprène avec lequel elle réalise ses idées pour la série "Souvenir de Hollande".
Son travail se trouve dans des musées tels que le Musée de la Mode deLa Haye (Pays-Bas), et de la Ville de Paris (), le Musée de Textile, Tilburg (Pays-Bas), Le Musée allemand du cuir, Offenbach am Main, ainsi que dans d'autres collections publiques et privées.
galerie toutes latitudes présente Mia Trompenaars (Pays-Bas) sculptures
du 21 mars au 13 avril 2008
du jeudi au dimanche de 15h à 19h et sur rendez-vous
vernissage vendredi 21 mars à 18h
"Brabantse Koffietafel" repas-rencontre avec l'artiste le dimanche 23 mars à 12h30 autour des spécialités culinaires de sa ville dans le Noord-Brabant en la galerie d'art moderne de Anne van der Jagt
toutes latitudes
Réservations souhaitées : Tél. 01 58 64 09 73
28, rue Beaurepaire75010 Paris M&#176; Jacques Bonsergent, République, GoncourtFrancePhone : +33 (0)1 42 45 59 64Mail : Internet Site :
Description:
Exposition du 18 mars au 6 avril
Contact : Sandrine Lefort / 06 80 15 34 91
/archive/YashGodebski2008.html
Description:
Centre Culturel du Clos St Jean - 77140 SAINT-PIERRE-LES-NEMOURS
21 au 30 mars
Vernissage le vendredi 21 mars 18h
, expo de l'Association des Jeunes Artistes Coréens" class="entry" id="pop15810-16" href="view_entry.php?id=15810&date=">[18:00-20:00] <>, expo de l'Association des Jeunes Artistes Coréens
2, avenue d'Iéna75116 Paris M&#176; Iéna, TrocadéroFrancePhone : +33 (0)1 47 20 83 86Fax : +33 (0)1 47 23 58 97Mail : Internet Site :
Description:
du 19/03/2008 au 12/04/2008
L'AJAC, qui célèbre cette année son 25e anniversaire, est sans nul doute l'une des plus importantes et des plus anciennes associations d'artistes coréens en France, et c'est à ce titre que ses membres sont régulièrement invités chaque année pour une exposition au . Entre souvenir et oubli, permanence et mutation d'une identité collective, la notion de "traces", qui anime cette exposition, correspond bien à l'idée de l'Association de nommer "in 25 out" les évolutions qu'elle a connues en 25 ans d'histoire et de transformation au cours desquels ses membres se sont renouvelés.
Le thème de la "traces" permet de présenter deux petits groupes sous les titres "réminiscence" et "oubli". La "traces" en tant que réminiscence est une sorte d'inscription, surgissement des souvenirs
en tant qu'oubli, elle est comme une ellipse. La plupart des images dont on se remémore peuvent se présenter d'une manière figurative, même si le souvenir est déformé dans la mémoire. L'oubli, quant à lui, entre dans la catégorie de l'abstraction, de l'informel, du monochrome.
Cette exposition présente les travaux autour du thème précité (peintures, photographies, vidéos, installations) d'une dizaine d'artistes parmi la quarantaine de membres de l'AJAC
45 artistes plasticiens présentent leurs oeuvres autour de Trace et Tourbillon.
A l'occasion du 25ème anniversaire de l'Association des Jeunes Artistes Coréens.
Vernissage le vendredi 21 mars 2008 - Exposition du 19 mars au 12 avril
2 Exposition, 2 Lieux :
à 15h-17h à Galerie Taibout - 42 rue de Provence - 75009 Paris
à 18h -20h00 au
- 2 av d'Iéna - 75116 Paris
Entrée libre dans la limite des places disponibles
45 A, boulevard JourdanCité Internationale Universitaire de Paris75014 Paris M&#176; RER B Cité Universitaire, Porte d'OrléansFrancePhone : +33 (0)1 53 62 77 00Fax : +33 (0)1 53 62 77 50Mail : Internet Site :
Description:
Du vendredi 21 mars au samedi 29 mars 2008
Vernissage vendredi 21 mars à 19h00
Installation réalisée par Wissem El Abed et Najah Zarbout à la Maison de la Tunisie dans le cadre de la célébration de la journée internationale de la Francophonie.
Installation réalisée entre dessin, vidéo, son et lumière, qui traverse l'univers poétique d'Antoine de Saint-Exupéry. L'écrivain, aviateur et auteur du Petit Prince a élargi les frontières du <>, en lui donnant une dimension universelle.
Plus d'infos :
http://www.20mars.francophonie.org/6336-Installation-d-art-contemporain-L-Autre-c-est-l-Ami
9, rue Godefroy Cavaignac75011 Paris M&#176; Charonne, VoltaireFrancePhone : +33 (0)1 43 48 58 57Mail :
Description:
Vernissage le 21 mars à partir de 19h
du 21 mars au 21 avril 2008
Amandine FRANCOIS-ROUSSEAUX a 26 ans et habite à Paris dans le 12e arrondissement.
Photographe amateur, elle s'intéresse à la photographie depuis l'adolescence (toujours un appareil photo en fond d'une poche pour saisir des petits moments de la vie quotidienne).
“A force d'arpenter Paris et passionnée de photos anciennes, j'ai décidé de consacrer une exposition à ce “joli-pari” aux couleurs rétro !”.
Bagnolet93170 Bagnolet M&#176; GallieniFranceInternet Site :
Description:
Centre de quartier des Coutures - 37, rue Jules Ferry - tél. 01 41 58 55 40
Du 17 au 29 mars 2008
Vernissage vendredi 21 mars à 19h30
56, rue de la SablièrePlace Flora Tristan75014 Paris M&#176; Pernety, Mouton-DuvernetFrancePhone : +33 (0)1 45 43 95 36Internet Site :
Description:
Exposition de Gervaise Mosser
6, rue Saint-Claude75003 Paris M&#176; Saint-Sébastien - FroissartFrancePhone : +33 (0)1 42 74 13 55Mail : Internet Site :
Description:
/event.php?eid=
/event.php?eid=
Toilet disco spéciale orchestré par Special Ed et Jonny Saigon + super guest : Antipop
Mot de passe : pas d'omelette sans casser les oeufs
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